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Pour débuter cette chronique, je me dois tout d’abord de remercier mille fois Monsieur S. Auzilleau sans qui je n’aurais pu me procurer cette petite merveille. On le sait tous mais je vais le rappeler quand même chaque fin d’année le fan club de DT offre un CD à ses adhérents. En somme vous savez ce qui vous reste à faire, puisqu’il doit lui en rester deux ou trois sous le coude.
Maintenant que j’en ai fini de la promotion, parlons du CD. Si vous aimez les ambiances feutrées, genre petit club, bonne bière et groupe en grande forme et bien sûr si vous aimez DT, vous allez craquer. Cet enregistrement laisse beaucoup mieux paraître le feeling du groupe et propose quelques reprises inédites : "hey you" de qui vous savez, "bad" de U2, "goodbye yellow brick road" de Tonton John et "mean street" du groupe des frangins Van Halen. Mais surtout DT se montre plus intimiste, moins calculateur en jouant son répertoire plus calme où les influences de chacun s’expriment ("speak to me" ressemble fort à un remerciement pour U2). Le magnifique instrumental qui débute le set pourrait presque vous tirer les larmes et la version de "to live forever" est en tous points remarquable. Un titre que je ne connaissais pas mais qui le fait comme on dit chez moi. De plus, quatre titres sont les chutes extraites du concert parisien pour l’enregistrement du live officiel "Once in livetime". D’ailleurs les versions proposées de "anna lee", "cover my eyes" , "lifting shadows of a dream" et "the silent man" nous font presque regretter que Dream Theater ne nous ait pas proposé plus souvent ces petits cadeaux sur leurs maxis. J’irai même jusqu’à dire que cet enregistrement tient la dragée haute aux bootlegs officiels. Chapeau bas messieurs. Sympas, très sympas DT avec ses fans.
Frédéric Richer
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